Dans notre monde actuel, la tendance est à se fixer des objectifs. C’est une dynamique très prisée. Quel que soit le domaine.  Professionnel bien sûr. Relationnel. Immobilier. Santé. Sportif. 

Quand quelqu’un dit « j’assume », cela veut dire qu’il reconnaît quelque chose et qu’il en prend la responsabilité.
Ainsi, assumer, ce n’est pas reconnaître honteusement quelque chose.

Lorsque j’observe une situation, je reste un peu en retrait. Je ne me mêle pas. Je ne prends pas part directement à ce qui se passe. Je ne suis pas dans l’arène mais j’assiste au spectacle.

Je me suis construite à partir du temps linéaire.Le temps calendrier. Le temps horloge.
Le temps tel qui nous est proposé par la société.
Le temps qui structure et rythme nos journées, nos mois, notre année, notre vie.

Les temps sont clivant. Nous sommes sur un fil.
L’équilibre est difficile à maintenir. Doit-il être maintenu?
Ne pas nous renier, ne pas nous trahir.

Célébrer… Voilà un mot de la langue française que j’adore! J’y associe immédiatement des mots tels que la joie, la gratitude, la fête, la rencontre et … quelque chose de plus sacré aussi.

L’été est là. Le soleil aussi. L’appel du FEU.
La joie du coeur. De la chaleur. Du rayonnement.
L’audace de nous offrir, sans tergiverser. Dans toute notre splendeur.

Il ne suffit pas de s’agiter et de s’ériger contre les malheurs de ce monde, en pensant que cela puisse changer quelque chose. Lorsque nous combattons une idée, un projet, un acte, nous maintenons en réalité son énergie.

Dans ce vacarme d’infos et d’activités revisitées et proposées avec les meilleures intentions, peut-être avez-vous envie de silence. Le risque étant de sauter d’une activité en présentiel à une activité en confinement …

Nous connaissons tous la notion d’ego. Au moins sommairement. Dans des expressions telles que « Elle a un des ces ego celle-là », voulant dire généralement que la personne ne se prend pas pour n’importe qui, qu’elle se remet peu en question, que tout tourne autour d’elle.

Les grecs utilisaient différents noms quand ils parlaient d’amour. Et si nous en profitions pour clarifier nos relations ? L’auteur le propose à travers le couple. Mais nous pouvons lire et élargir cette conception à nos autres relations

Avant, je commençais les tâches par ce que j’aimais le moins ; comme ça, j’en étais débarrassée et j’avais l’impression d’aller de plus en plus vers ce qui me donnait de la joie. Mais il y avait une certaine lourdeur

Quand on aime les choses bien faites, quand on est volontaire, rigoureux et qu’on nourrit un idéal élevé, il y a beaucoup de risques de devenir perfectionniste et de mettre la barre très haut. Pour les perfectionnistes (dont j’ai fait partie), c’est une qualité.

Le cadeau raconte toujours une histoire… C’est peut-être pour cela qu’il n’est pas toujours évident à offrir ou recevoir.Il parle de notre intention, de la relation et de la manifestation visible du lien

Au moment où je me suis rendu compte que ce que j’étais en train d’écrire avait peut-être vocation à être lu, cela s’est quelque peu contracté en moi. Je devais me rendre à l’évidence que cela changeait la donne.

Lui, c’est un optimiste. Cette phrase m’a surprise. Non parce que la personne visée par les propose ne l’était pas mais par tout ce que cela sous entendait et soulevait comme questions. Y aurait-il ainsi les optimistes et les pessimistes?

« J’ai besoin de me ressourcer ». Cela veut souvent dire: lever le pied. Prendre du temps pour moi. Etre au calme. Dans la nature. Seul(e). Faire des choses que j’aime et que je ne fais pas assez souvent.

Récemment, je vivais un moment délicat. La tentation est grande dans ces moments-là de me dire: encore !?! Comme si avancer sur mon chemin devait m’enlever tous les cailloux.